Il y a quelques jours, nous rappelions que la crise avait refroidi les négociations entre Dan Friedkin et James Pallotta. Du coup, Pallotta chercherait un nouvel acquéreur du coté de l’Arabie Saoudite… Vraiment?
Friedkin, ça se refroidi.
On le sait, la cession de la Roma est compliquée, peut être même compromise, pour plusieurs raisons. Premièrement, Friedkin, qui était déjà refroidi à cause du prix, avait freiné les négociations suite à la pandémie imminente du Covid-19 qui a submergé l’Italie. Aussi, il faut ajouter que la Roma se qualifiera difficilement pour la Ligue des champions, ce qui va forcément faire perdre des revenus. De plus, certains médias, comme tuttomercatoweb, indiquent que les « actionnaires minoritaires de Friedkin ont disparu ». Du coup, faut-il espérer voir le milliardaire texan acquérir le club? A priori non.
Arabie saoudite ou permanence de Pallotta ?
Néanmoins, bien que certains médias britanniques et arabes annoncent que Pallotta recherche un acquéreur du coté de l’Arabie Saoudite, plusieurs médias rapportent une autre possibilité: et si Pallotta ne vendait pas? Et si Pallotta restait même président du club ? En fait, ce n’est pas si dénué de sens. Nous savons qu’il cherche des investisseurs au moins minoritaires (but premier des négociations avec Firedkin, ndlr), mais ce qu’on ne sait pas, c’est à hauteur de combien. Du coup, rien n’empêche Pallotta de rester actionnaire majoritaire.
Dans le cas où il resterait, plusieurs points de l’organigrammes seraient à régler, notamment le cas Petrachi. Certains médias, encore une fois tuttomercatoweb, relatent que l’actuel DS serait en marge du club. Cependant, ce n’est pas une information qui revient avec insistance. En revanche, l’idée que Franco Baldini revienne, et cette fois à un poste important, est apparue avec un peu plus de consistance. Mais à peine son nom murmuré que d’autres journalistes, comme John Solano, sont allés à l’encontre de cette information : Si Baldini reste, c’est en tant que conseiller de Pallotta.
